Le soleil se lève à 6h30
Série en cours



Détails, composition_01 dessin sur châssis, crayon, format plein 155 x 100 cm, 2019.
La scène architecturale de la Havane se situe dans le processus lent d’effondrement —lequel est investi. Il existe en effet un état intermédiaire, suspendu entre l’intervention humaine et les lois de la nature : le phénomène de ruine habitée. S’insère ainsi dans ce processus lent des gestes, qui visent à ne pas laisser à l’abandon un bâtiment qui pourtant est appelé à l’effondrement.
Ce temps précis, en attente, est propre à la problématique du « faut il reconstruire? » qui paralyse ainsi l’ensemble de la vieille ville. S’opère dès lors une forme de démystification de la ruine, dès lors qu’elle devient usage et non plus image contemplative.
Ainsi, qu’advient-il lorsque ces structures que l’on souhaite éphémères, restent et deviennent partie prenante du paysage reconstruit ; partie prenante du quotidien?
Que reste t’il lorsque l’éphémère devient continu? En retour poser un regard sur ce «faire avec l’espace», qui se pose comme symptôme de l’échec des politiques à l’égard du patrimoine architectural Cubain.
Le soleil se lève à 6h30 est un corpus de dessins non achevés, toujours en attente et sujets à dispersion, façon de conserver les possibles. Reconstruire sans réparer, soit prolonger le geste établi de greffe architecturale dans les ruines habitées de la vieille Havane.
Ce temps précis, en attente, est propre à la problématique du « faut il reconstruire? » qui paralyse ainsi l’ensemble de la vieille ville. S’opère dès lors une forme de démystification de la ruine, dès lors qu’elle devient usage et non plus image contemplative.
Ainsi, qu’advient-il lorsque ces structures que l’on souhaite éphémères, restent et deviennent partie prenante du paysage reconstruit ; partie prenante du quotidien?
Que reste t’il lorsque l’éphémère devient continu? En retour poser un regard sur ce «faire avec l’espace», qui se pose comme symptôme de l’échec des politiques à l’égard du patrimoine architectural Cubain.
Le soleil se lève à 6h30 est un corpus de dessins non achevés, toujours en attente et sujets à dispersion, façon de conserver les possibles. Reconstruire sans réparer, soit prolonger le geste établi de greffe architecturale dans les ruines habitées de la vieille Havane.

format entier (reproduction temporaire)

Alternative_01, crayon sur papier, 49 x 33 cm, 2019.

Send Nudes
projet en cours
Pré-requis : « send nudes » est un phénomène internet d’envoi de photos érotiques éphémères, sur les réseaux sociaux, dont seule la capture d’écran permet la sauvegarde.
Venir disséquer l’arrière plan, non pas le corps donné, acéphale, cambré, mais bien les détails qui semblent avoir échappé à la mise en scène. Ceux-la même qui sont porteur de l’intime, et du fétichisme que l’imaginaire du voyeur ne peut alors s’empêcher de créer.
Détail d’accrochage, dessins sur portant de cartes postales, crayon sur papier, chaque 10 x 15 cm.
Venir disséquer l’arrière plan, non pas le corps donné, acéphale, cambré, mais bien les détails qui semblent avoir échappé à la mise en scène. Ceux-la même qui sont porteur de l’intime, et du fétichisme que l’imaginaire du voyeur ne peut alors s’empêcher de créer.
Détail d’accrochage, dessins sur portant de cartes postales, crayon sur papier, chaque 10 x 15 cm.












Voir toutes les cartes postales







Poursuivre sa chimère
Projet en coursRelecture
Morphologies
Corpus vidéo, en cours



La lumière et son application très inégale dans le tissu urbain d’Athènes, construit sensiblement la perception de la ville une fois la nuit installée, dont les contours s’estompent.
Le hors-champ est la seule soucre de lumière qui dévoile ces architectures, choisies de par leur exclusion du paysage nocturne. Se dessine sur ces facades les mouvements alentours, qui en retour révèlent la morphologie très dense du palimpseste architectural Athénien.
Le hors-champ est la seule soucre de lumière qui dévoile ces architectures, choisies de par leur exclusion du paysage nocturne. Se dessine sur ces facades les mouvements alentours, qui en retour révèlent la morphologie très dense du palimpseste architectural Athénien.
L’enfer n’a pas de plafond
Série en cours@barbaraleclercq